Voici avec beaucoup de retard un petit résumé de nos vacances d'été. Et pour quelques photos, c'est ici.
Départ pour Wacken le mardi. Pour une fois nous avons pu partir tôt pour arriver tôt. Vous vous en foutez certainement, mais démarrer un fest après une bonne nuit de sommeil sur place, (plutôt qu'après une nuit blanche en bagnole...), et bien ça change la vie !
Nous attaquon notre Fest le jeudi avec Nashville Pussy. Pas vraiment une découverte pour nous puisque nous suivons ce groupe depuis plusieurs années déjà. Première constatation, l'accès de la Party Stage (scène annexe) a été largement améliorer cette année et c'est très bien. 2e constatation : le son a aussi été grandement amélioré et c'est bien aussi ! Pour ce qui est du groupe, son Rock N' Roll est toujours aussi bon et nous fait bien taper du pied. Mais le groupe a déjà été meilleure. Un bon concert mais sans plus.
On enchaîne avec Airbourne. Décidément, cette première journée se veut Rock N Roll. On découvre avec plaisir les nouvelles stars montantes du Hard Rock Australien. Et mes ailleux, quelle claque ! Impossible de ne pas taper du pied devant ce groupe. Leur musique est excellente et sur scène, c'est énorme. ça bouge dans tous les sens, ça transpire, ça lache les Watts. On se retrouve vite à headbanguer comme des dingues. Manque juste un poil de communication avec le public. Le buzz autours de ce groupe est justifier. Reste juste à confirmer dans le temps pour que l'on est pas un feu de paille type The Darkness.
Une petite pause après toute cette énergie avec Leaves Eyes. Rarement, nous aurons enchainé les concerts aussi rapidement en une première journée de Wacken (traditionnellement toujours la plus courte). Mais nous ne pouvions rater Leaves Eyes, tant c'est toujours un plaisir de retrouver Liv Christin et son bourrin de mari (Alexander Krull, chanteur d'Atrocity). Pourtant, la sauce ne prend pas vraiment. Le public est peu dense devant la scène et la douce Liv n'arrive pas à capter notre attention.
Nous préférons doucement nous expliquer pour attendre l'événement de la soirée : Iron Maiden. Et forcément, les abords de la scène sont bondés. Rarement vu une telle densité de population à Wacken. Le groupe déboule donc pour plus de 2 heures de bonheur. Sur cette tournée, Maiden joue la norstalgie puisqu'ils n'interprètent que des titres d'avant 1988 (à l'exception de Fear Of The Dark). Rien à jeter donc dans la playlist puisqu'il s'agit est de loin de la meilleure époque de la vierge de Fer. Sur scène, c'est du solide, avec tous les effets visuels habituels (Eddy par ci Eddy Par là), les lights sont magnifiques et l'interprétation sans faille. Et même si je n'ai pas tout vu (les Allemands sont grands et moi petit malgré mes News Rocks...), l'ambiance (70 000 métalleux, ça fait du bruit) et la musique du groupe fait que nous vivons ici un grand moment de cette édition (il y en aura d'autres...). Juste un bémol : le "pétage de plomb" de Bruce Dickinson en début de Set, lorsqu'il vire sans ménagement les cameramen de la scène. Il nous avait fait le même coup il y a 5 ans lorsqu'il avait joué en solo. Vu la puissance commerciale de Maiden, s'il ne voulait pas être filmé, il n'avait que le spécifier dans son contrat. Bref, il a joué sa Rock Star et ça a gavé pas mal de monde. Pour le reste, ce concert fut tout simplement grand.
Départ pour Wacken le mardi. Pour une fois nous avons pu partir tôt pour arriver tôt. Vous vous en foutez certainement, mais démarrer un fest après une bonne nuit de sommeil sur place, (plutôt qu'après une nuit blanche en bagnole...), et bien ça change la vie !
Nous attaquon notre Fest le jeudi avec Nashville Pussy. Pas vraiment une découverte pour nous puisque nous suivons ce groupe depuis plusieurs années déjà. Première constatation, l'accès de la Party Stage (scène annexe) a été largement améliorer cette année et c'est très bien. 2e constatation : le son a aussi été grandement amélioré et c'est bien aussi ! Pour ce qui est du groupe, son Rock N' Roll est toujours aussi bon et nous fait bien taper du pied. Mais le groupe a déjà été meilleure. Un bon concert mais sans plus.
On enchaîne avec Airbourne. Décidément, cette première journée se veut Rock N Roll. On découvre avec plaisir les nouvelles stars montantes du Hard Rock Australien. Et mes ailleux, quelle claque ! Impossible de ne pas taper du pied devant ce groupe. Leur musique est excellente et sur scène, c'est énorme. ça bouge dans tous les sens, ça transpire, ça lache les Watts. On se retrouve vite à headbanguer comme des dingues. Manque juste un poil de communication avec le public. Le buzz autours de ce groupe est justifier. Reste juste à confirmer dans le temps pour que l'on est pas un feu de paille type The Darkness.
Une petite pause après toute cette énergie avec Leaves Eyes. Rarement, nous aurons enchainé les concerts aussi rapidement en une première journée de Wacken (traditionnellement toujours la plus courte). Mais nous ne pouvions rater Leaves Eyes, tant c'est toujours un plaisir de retrouver Liv Christin et son bourrin de mari (Alexander Krull, chanteur d'Atrocity). Pourtant, la sauce ne prend pas vraiment. Le public est peu dense devant la scène et la douce Liv n'arrive pas à capter notre attention.
Nous préférons doucement nous expliquer pour attendre l'événement de la soirée : Iron Maiden. Et forcément, les abords de la scène sont bondés. Rarement vu une telle densité de population à Wacken. Le groupe déboule donc pour plus de 2 heures de bonheur. Sur cette tournée, Maiden joue la norstalgie puisqu'ils n'interprètent que des titres d'avant 1988 (à l'exception de Fear Of The Dark). Rien à jeter donc dans la playlist puisqu'il s'agit est de loin de la meilleure époque de la vierge de Fer. Sur scène, c'est du solide, avec tous les effets visuels habituels (Eddy par ci Eddy Par là), les lights sont magnifiques et l'interprétation sans faille. Et même si je n'ai pas tout vu (les Allemands sont grands et moi petit malgré mes News Rocks...), l'ambiance (70 000 métalleux, ça fait du bruit) et la musique du groupe fait que nous vivons ici un grand moment de cette édition (il y en aura d'autres...). Juste un bémol : le "pétage de plomb" de Bruce Dickinson en début de Set, lorsqu'il vire sans ménagement les cameramen de la scène. Il nous avait fait le même coup il y a 5 ans lorsqu'il avait joué en solo. Vu la puissance commerciale de Maiden, s'il ne voulait pas être filmé, il n'avait que le spécifier dans son contrat. Bref, il a joué sa Rock Star et ça a gavé pas mal de monde. Pour le reste, ce concert fut tout simplement grand.