On me le répète pourtant depuis que je suis tout petit. Ne jamais se fier aux apparences ; l'habit ne fait pas le moine ; toujours aller gratter sous la surface. Mais je suis comme la plupart d'entre vous. Dans notre monde où l'apparence compte pour beaucoup, je m'arrête trop souvent à ce que je vois, sans aller plus loin. Je sais, ce n'est pas bien, mais c'est comme ça.
Heureusement pour moi, cette attitude à la con n'est pas non plus systématique. Si cela avait été le cas, Eraser, nouvel album de Revengia, n'aurait certainement pas pénétré dans mon mange-disque. Prenons d'abord le nom du groupe : Revengia. C'est pas gagné… Sonne daté, très années 80. Je crains le pire : un groupe de tarlouze qui se croit méchant. Je continue avec la pochette de l'album (voir ci dessus) : un vieux diable tout pas beau sacrifiant des humains alors que le monde est bombardé par des rayons lasers. Pas gagné non plus… "Du Heavy classique, mal produit et chanté avec une voix de castra" me suis-je dis lorsque j'éi découvert cette pochette pour la première fois. Et j'aurais pu m'arrêter là et passer mon chemin.
Mais aller savoir pourquoi, j'ai quand même mis cette galette dans ma chaîne. Et c'est là que j'ai eu une révélation : Putain que ce Eraser est bon !!!!
Oubliez le Metal de tarlouze des années 80 pour gonzesses (Je sais, ça sonne misogyne, mais c'est juste pour faire gros dur !). Il est ici question de gros Thrash avec une bonne dose de mélodies, Celle qui sont du genre a te rentrer tout droit dans le crâne pour ne plus en sortir. Le plus terrible est que plus j'écoute cette musique, plus je ressens l'efficacité de ce disque. Je craignais aussi une production ratée. Que Nenni, les amis ! C'est du solide, du costaud, soutenant parfaitement cette musique qui, à défaut d'être originale, est rudement efficace. Et si la base est solide, que dire des petits arrangements, notamment vocaux, qui apportent de-ci de-là, une petite touche de douceur, histoire de respirer de temps à autre ("Life").
Mention spéciale aussi au chanteur : une belle voix rocailleuse qui réchauffera le cœur du moindre Metalheadz transi par le froid (ce qui n'est pas le cas aujourd'hui puisqu'il doit faire 35° à l'ombre !). Et que dire de ces riffs plombés ? des coups d'enclume dans la tête, tout simplement.
Comme je viens de vous le dire, il fait très chaud en ce jour d'août. Mais ce n'est pas Eraser qui va faire retomber la température. C'est même tout le contraire. Ce Metal de haute voltige ne va réussir qu'une chose : me faire rentrer en fusion.
Il ne faut vraiment pas s'arrêter aux apparences. Si j'avais fais cette belle boulette, je serais tout simplement passé à côté de la révélation de cette été !
Heureusement pour moi, cette attitude à la con n'est pas non plus systématique. Si cela avait été le cas, Eraser, nouvel album de Revengia, n'aurait certainement pas pénétré dans mon mange-disque. Prenons d'abord le nom du groupe : Revengia. C'est pas gagné… Sonne daté, très années 80. Je crains le pire : un groupe de tarlouze qui se croit méchant. Je continue avec la pochette de l'album (voir ci dessus) : un vieux diable tout pas beau sacrifiant des humains alors que le monde est bombardé par des rayons lasers. Pas gagné non plus… "Du Heavy classique, mal produit et chanté avec une voix de castra" me suis-je dis lorsque j'éi découvert cette pochette pour la première fois. Et j'aurais pu m'arrêter là et passer mon chemin.
Mais aller savoir pourquoi, j'ai quand même mis cette galette dans ma chaîne. Et c'est là que j'ai eu une révélation : Putain que ce Eraser est bon !!!!
Oubliez le Metal de tarlouze des années 80 pour gonzesses (Je sais, ça sonne misogyne, mais c'est juste pour faire gros dur !). Il est ici question de gros Thrash avec une bonne dose de mélodies, Celle qui sont du genre a te rentrer tout droit dans le crâne pour ne plus en sortir. Le plus terrible est que plus j'écoute cette musique, plus je ressens l'efficacité de ce disque. Je craignais aussi une production ratée. Que Nenni, les amis ! C'est du solide, du costaud, soutenant parfaitement cette musique qui, à défaut d'être originale, est rudement efficace. Et si la base est solide, que dire des petits arrangements, notamment vocaux, qui apportent de-ci de-là, une petite touche de douceur, histoire de respirer de temps à autre ("Life").
Mention spéciale aussi au chanteur : une belle voix rocailleuse qui réchauffera le cœur du moindre Metalheadz transi par le froid (ce qui n'est pas le cas aujourd'hui puisqu'il doit faire 35° à l'ombre !). Et que dire de ces riffs plombés ? des coups d'enclume dans la tête, tout simplement.
Comme je viens de vous le dire, il fait très chaud en ce jour d'août. Mais ce n'est pas Eraser qui va faire retomber la température. C'est même tout le contraire. Ce Metal de haute voltige ne va réussir qu'une chose : me faire rentrer en fusion.
Il ne faut vraiment pas s'arrêter aux apparences. Si j'avais fais cette belle boulette, je serais tout simplement passé à côté de la révélation de cette été !
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