Il ne vous arrive jamais de vous poser la question suivante : "Mais comment ce CD sait-il retrouver dans mon mange-disque ?". Moi, ça m'arrive. A y réfléchir, c'est même assez fréquent. Dans notre monde où la musique est archi-disponible et où la surproduction nous guette, on passe notre temps à écouter des trucs dont on ne connaît pas l'origine. Mais quand on creuse, on arrive souvent à en savoir un peu plus.
En me baladant l'autre soir sur le net, je me suis arrêté sur un nom de groupe : Fair Warning. Ce patronyme m'a interpellé sans que je sache pourquoi. J'ai vite réalisé qu'il y avait une confusion dans ma petite tête. Reconnaissez qu'entre Fair Warning et Fates Warning, il y a comme une certaine ressemblance. Et comme j'avais déjà croisé le nom des deuxièmes, le nom des premiers m'a tilté. Du coup, je me suis arrêté dans mon surf sans but pour découvrir les premiers en pensant écouter les deuxièmes. Je me suis donc procurer Aura, le dernier méfait du groupe (le premier pas les deuxièmes…, ça ne suit pas au fond). Sauf que quand le disque est arrivé dans mon lecteur, je m'étais aperçu de mon erreur. Mais le CD étant à ma disposition, je n'allais quand même pas le jeter sans y jeter une oreille.
Pour le coup, j'aurais bien aimé que le mode "association à la con" de mon cerveau fonctionne un peu moins. Car ma balade virtuelle m'aurait peut-être permit de découvrir un autre disque, bien meilleur. Non pas qu'Aura soit mauvais, mais le FM n'a jamais été trop mon truc. Et si certains albums de ce genre musical sont pour moi des grands disques (comme le dernier Tesla ou le dernier Gothard), ce n'est pas le cas d'Aura.
Tout démarre pourtant bien sur ce disque, avec un enchaînement de deux titres ("Fighting For You Love" et "Here Come The Heartache"), assez enlevés et plutôt réussis. Et ils enchaînent sur une power ballade de bonne facture ("Hey Girl"). Surprenant pour ma pomme, car les Power Ballede des groupes de FM ont d'habitude une sérieuse tendance à casser les couilles. Remarquez au passage les magnifiques titres de ces Chansons. Même David Coverdale de Whitesnake n'ose des enchaînements de titre aussi kitch !
Ces 3 premiers morceaux passent plutôt bien. Mais c'est après que ça se gatte : "Don't Count On Me", chanson FM gentillette où tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil ; "Falling", 2e ballade, toute sirupeuse et dégoulinante de guimauve (à les "Yeeeehh, Falling love" sur le solo guitare, que c'est romantique…) ; "Holding On" , 3e ballade (deux de suite, ils vont me tuer !) ne fait pas mieux et même pire !
Après ce dure moment passé, je retrouve quand même le sourire avec "Walking On Smiles", qui malgré son refrain trop mielleux pour moi, m'accroche bien grâce à son couplet bien catchy et des petits arrangements électroniques bien trouvés.
Je ne m'éterniserai pas sur les derniers titres, car ils sont du même calibre que tout le reste. Le sympathique alterne avec le franchement pas terrible (et je reste poli). Il est certain que le Net a ses bons côtés. Il nous permet de découvrir toujours plus de nouveaux groupes. Mais c'est une arme à double tranchant. Si l'on gagne parfois en découvrant des perles, il nous arrive souvent de nous planter dans nos choix. Et comme ceux-ci se font souvent au petit bonheur la chance, ce soir, je n'ai vraiment pas eu de bol !
En me baladant l'autre soir sur le net, je me suis arrêté sur un nom de groupe : Fair Warning. Ce patronyme m'a interpellé sans que je sache pourquoi. J'ai vite réalisé qu'il y avait une confusion dans ma petite tête. Reconnaissez qu'entre Fair Warning et Fates Warning, il y a comme une certaine ressemblance. Et comme j'avais déjà croisé le nom des deuxièmes, le nom des premiers m'a tilté. Du coup, je me suis arrêté dans mon surf sans but pour découvrir les premiers en pensant écouter les deuxièmes. Je me suis donc procurer Aura, le dernier méfait du groupe (le premier pas les deuxièmes…, ça ne suit pas au fond). Sauf que quand le disque est arrivé dans mon lecteur, je m'étais aperçu de mon erreur. Mais le CD étant à ma disposition, je n'allais quand même pas le jeter sans y jeter une oreille.
Pour le coup, j'aurais bien aimé que le mode "association à la con" de mon cerveau fonctionne un peu moins. Car ma balade virtuelle m'aurait peut-être permit de découvrir un autre disque, bien meilleur. Non pas qu'Aura soit mauvais, mais le FM n'a jamais été trop mon truc. Et si certains albums de ce genre musical sont pour moi des grands disques (comme le dernier Tesla ou le dernier Gothard), ce n'est pas le cas d'Aura.
Tout démarre pourtant bien sur ce disque, avec un enchaînement de deux titres ("Fighting For You Love" et "Here Come The Heartache"), assez enlevés et plutôt réussis. Et ils enchaînent sur une power ballade de bonne facture ("Hey Girl"). Surprenant pour ma pomme, car les Power Ballede des groupes de FM ont d'habitude une sérieuse tendance à casser les couilles. Remarquez au passage les magnifiques titres de ces Chansons. Même David Coverdale de Whitesnake n'ose des enchaînements de titre aussi kitch !
Ces 3 premiers morceaux passent plutôt bien. Mais c'est après que ça se gatte : "Don't Count On Me", chanson FM gentillette où tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil ; "Falling", 2e ballade, toute sirupeuse et dégoulinante de guimauve (à les "Yeeeehh, Falling love" sur le solo guitare, que c'est romantique…) ; "Holding On" , 3e ballade (deux de suite, ils vont me tuer !) ne fait pas mieux et même pire !
Après ce dure moment passé, je retrouve quand même le sourire avec "Walking On Smiles", qui malgré son refrain trop mielleux pour moi, m'accroche bien grâce à son couplet bien catchy et des petits arrangements électroniques bien trouvés.
Je ne m'éterniserai pas sur les derniers titres, car ils sont du même calibre que tout le reste. Le sympathique alterne avec le franchement pas terrible (et je reste poli). Il est certain que le Net a ses bons côtés. Il nous permet de découvrir toujours plus de nouveaux groupes. Mais c'est une arme à double tranchant. Si l'on gagne parfois en découvrant des perles, il nous arrive souvent de nous planter dans nos choix. Et comme ceux-ci se font souvent au petit bonheur la chance, ce soir, je n'ai vraiment pas eu de bol !
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