Eh oui, la saga Hellfest n’est toujours pas finie ! Il faut dire que l’effet d’un festival de Metal dure un sacré moment. Alors vu qu’on ressent toujours l’effet Hellfest, on voulait le faire partager aussi longtemps que possible !
Si vous êtes des fidèles de la saga « Hellfest » sur Metallic Doormat, vous avez dû vous rendre compte qu’il manquait encore 2 styles principaux : le Heavy et le bourrin (pour faire simple). Aujourd’hui je vais vous parler des quelques groupes de Heavy qui ont foulés le sol de Clisson en ce week end de juin 2009. Quoiqu’en fait, quasi tous les groupes de Heavy ont joués le dimanche !
Les hostilités commencent avec ADAGIO à 11H30. Pas facile d’attaquer un 3° jour de fest de si bonne heure. Surtout quand un groupe comme Black Stone Cherry a déjà mis une mandale aux plus courageux ! Pourtant Adagio est bien présent devant un parterre encore peu garni. Mais nous ne sommes pas vraiment récompensés : le premier morceau ressort sans guitare sur les enceintes… Adagio sans guitare c’est comme une bière sans bulle : fade. Mais le groupe ne s’en pas compte immédiatement et c’est à la fin du morceau lorsque tout le public hurle en montrant Stephan, les oreilles et le pouce en bas que le chanteur arrête le second titre et se penche vers les premiers rang pour confirmer son sentiment. L’ingé son, après s’être pris une bonne huée, a dû trouver le bouton ON et nous pouvons repartir pour 30 minutes de bonheur ! Les chansons Heavy Neo Classiques des premiers albums côtoient les titres des derniers et le temps file à la même vitesse que les doigts sur le manche de gratte (ou de basse !). Du coup, pas le temps pour un petit « Fame », reprise oh combien classique mais pourtant toujours bien venue.
Le groupe suivant, HOLY HELL, ne nous aura pas retenu longtemps devant la Mainstage 1. En effet, un groupe qui se fait annconcer commes des stars, invité par Manowar et pas connu du tout dans notre contrée, ça ne le fait pas trop. Pour nous, ce sera « un petit tour et puis s’en va ». Nous restons une dizaine de minutes avant de lâcher l’affaire pour aller faire un tour au merch’ encore peu peuplé (il faut donc en profiter si on veut se ramener un petit souvenir). Il faut dire que ce Heavy au chant féminin semble bien fade quand on ne le connaît pas. Précison également que sachant qu’Epica foulera les planches quelques heures plus tard, nous ne faisons pas beaucoup d’effort.
Comme annoncé, EPICA investit la Mainstage à 17H30. Le public est assez nombreux pour accueillir les Hollandais (enfin, surtout la belle Simone !). Nous avions vu le groupe dans l’hivers à Paris et sa prestation vocale nous avait un peu déçus. Aujourd’hui la belle chanteuse semble moins dedans, mais paradoxalement elle chante nettement mieux… Pas facile d’allier les deux ! Le groupe quant a lui est fidèle à lui même et n’attire pas plus les regards que cela tant la frontwoman est quarismatique. Bonne note pour la playlist qui est efficace et enchaîne tube sur tube. Au final un très bon concert qui a répondu à toutes nos attentes.
STRATOVARIUS était très attendu. Après une saga de plusieurs années, le groupe s’est finalement séparé de son créateur, Timo Tolki dit « gros Timo ». Ce ne fût pas une mince affaire, mais le talentueux guitariste a posé de gros porblèmes à son groupe et c’était sans doute la meilleure solution si Stratovarius voulait continuer en toute sérénité. Les dommages colatéraux ont été immenses et le groupe ne s’en remettra sans doute jamais. Alors Strato vaut-il toujours le coup ? La réponse est Oui. Sur cette date, Timo Kotipelto, dit « Ti Timo », assure toujours derrière le micro, même il n’a pas poussé de Yaaaah en début de « Black Diamond »… Le reste du groupe est toujours aussi carré. Qu’en est-il du nouveau gratteux ? Certes, ne remplace pas Gros Timo qui veut, car côté gratte il assurait grave, mais le nouveau venu fait du bon boulot. Au total, nous passons un bon moment de Heavy Speed. Car Strato reste finalement Strato et quand le groupe semble prendre du plaisir sur scène, nous sommes les premiers ravis. Les 2-3 dernières dates que nous avions vues nous avaient fait mal, tellement le groupe semblait souffrir. Mais aujourd’hui, s’il n’est pas non plus 100% à l’aise, au moins il semble s’amuser, c’est déjà pas si mal !
Nous n’avions jamais vu QUEENSRYCHE, mais je ne sais pas si c’était un mauvais jour ou si nous étions trop crevés, mais nous n’avons pas vraiment accroché. Nous lâchons donc l’affaire au bout de 3 morceaux. Il fallait aussi reprendre quelques forces pour les concerts qui allaient arriver : Europe, Suicidal Tendencies, Amon Amarth… Rien que ça ! Mais ces concerts là vous les connaissez déjà !
Si vous êtes des fidèles de la saga « Hellfest » sur Metallic Doormat, vous avez dû vous rendre compte qu’il manquait encore 2 styles principaux : le Heavy et le bourrin (pour faire simple). Aujourd’hui je vais vous parler des quelques groupes de Heavy qui ont foulés le sol de Clisson en ce week end de juin 2009. Quoiqu’en fait, quasi tous les groupes de Heavy ont joués le dimanche !
Les hostilités commencent avec ADAGIO à 11H30. Pas facile d’attaquer un 3° jour de fest de si bonne heure. Surtout quand un groupe comme Black Stone Cherry a déjà mis une mandale aux plus courageux ! Pourtant Adagio est bien présent devant un parterre encore peu garni. Mais nous ne sommes pas vraiment récompensés : le premier morceau ressort sans guitare sur les enceintes… Adagio sans guitare c’est comme une bière sans bulle : fade. Mais le groupe ne s’en pas compte immédiatement et c’est à la fin du morceau lorsque tout le public hurle en montrant Stephan, les oreilles et le pouce en bas que le chanteur arrête le second titre et se penche vers les premiers rang pour confirmer son sentiment. L’ingé son, après s’être pris une bonne huée, a dû trouver le bouton ON et nous pouvons repartir pour 30 minutes de bonheur ! Les chansons Heavy Neo Classiques des premiers albums côtoient les titres des derniers et le temps file à la même vitesse que les doigts sur le manche de gratte (ou de basse !). Du coup, pas le temps pour un petit « Fame », reprise oh combien classique mais pourtant toujours bien venue.
Le groupe suivant, HOLY HELL, ne nous aura pas retenu longtemps devant la Mainstage 1. En effet, un groupe qui se fait annconcer commes des stars, invité par Manowar et pas connu du tout dans notre contrée, ça ne le fait pas trop. Pour nous, ce sera « un petit tour et puis s’en va ». Nous restons une dizaine de minutes avant de lâcher l’affaire pour aller faire un tour au merch’ encore peu peuplé (il faut donc en profiter si on veut se ramener un petit souvenir). Il faut dire que ce Heavy au chant féminin semble bien fade quand on ne le connaît pas. Précison également que sachant qu’Epica foulera les planches quelques heures plus tard, nous ne faisons pas beaucoup d’effort.
Comme annoncé, EPICA investit la Mainstage à 17H30. Le public est assez nombreux pour accueillir les Hollandais (enfin, surtout la belle Simone !). Nous avions vu le groupe dans l’hivers à Paris et sa prestation vocale nous avait un peu déçus. Aujourd’hui la belle chanteuse semble moins dedans, mais paradoxalement elle chante nettement mieux… Pas facile d’allier les deux ! Le groupe quant a lui est fidèle à lui même et n’attire pas plus les regards que cela tant la frontwoman est quarismatique. Bonne note pour la playlist qui est efficace et enchaîne tube sur tube. Au final un très bon concert qui a répondu à toutes nos attentes.
STRATOVARIUS était très attendu. Après une saga de plusieurs années, le groupe s’est finalement séparé de son créateur, Timo Tolki dit « gros Timo ». Ce ne fût pas une mince affaire, mais le talentueux guitariste a posé de gros porblèmes à son groupe et c’était sans doute la meilleure solution si Stratovarius voulait continuer en toute sérénité. Les dommages colatéraux ont été immenses et le groupe ne s’en remettra sans doute jamais. Alors Strato vaut-il toujours le coup ? La réponse est Oui. Sur cette date, Timo Kotipelto, dit « Ti Timo », assure toujours derrière le micro, même il n’a pas poussé de Yaaaah en début de « Black Diamond »… Le reste du groupe est toujours aussi carré. Qu’en est-il du nouveau gratteux ? Certes, ne remplace pas Gros Timo qui veut, car côté gratte il assurait grave, mais le nouveau venu fait du bon boulot. Au total, nous passons un bon moment de Heavy Speed. Car Strato reste finalement Strato et quand le groupe semble prendre du plaisir sur scène, nous sommes les premiers ravis. Les 2-3 dernières dates que nous avions vues nous avaient fait mal, tellement le groupe semblait souffrir. Mais aujourd’hui, s’il n’est pas non plus 100% à l’aise, au moins il semble s’amuser, c’est déjà pas si mal !
Nous n’avions jamais vu QUEENSRYCHE, mais je ne sais pas si c’était un mauvais jour ou si nous étions trop crevés, mais nous n’avons pas vraiment accroché. Nous lâchons donc l’affaire au bout de 3 morceaux. Il fallait aussi reprendre quelques forces pour les concerts qui allaient arriver : Europe, Suicidal Tendencies, Amon Amarth… Rien que ça ! Mais ces concerts là vous les connaissez déjà !
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