En ce moment, mon petit monde musical évolue. Je délaisse le Heavy, ses Dragons et ses Chevaliers. Je délaisse le Thrash, ces Bourrins, ces Pogos et sa Bière. Je délaisse le Doom, sa Noirceur et ses Marais Gluants. Je voyage…
Après le dernier Guilt Machine, cette errance m'a amené à découvrir Pine/Cross, le nouveau Masters Of Reality. Un peu comme un touriste débarquant en pleine brousse africaine alors qu'il n'a jamais quitté sa mégalopole, je me suis arrêté pour essayer de comprendre où j'avais atterri. Lors de ma descente d'avion, j'étais encore en terrain un peu connu, cet album commençant par un "King Richard TLH" bien Rock. Mais maintenant que j'ai quitté l'air climatisé de l'aéroport, j'arrive vraiment dans un autre monde. Les sons succèdent au sons. Je reconnais bien les structures typiques du Rock. Refrains – couplets – refrains. Mais même sans être un spécialiste du genre, je sens bien que Chris Goss, Maître de la Réalité des lieux, ne fait pas dans la Pop facile et radiophonique. Le psyché et l'étrange règne en maître. Les forces occultes, ou païennes, ou vaudous sont encore présentes en ces lieux.
Parfois, mais parfois seulement, le retour à la civilisation facile se fait sentir. Une petite touche 70's fait son apparition. Une disto vous évoquent un truc connu, genre Pixies ou The Breeders. J'aurais presque l'impression de reprendre pieds. Mais cela ne dure jamais longtemps. Quelques notes, un riff complet, exceptionnellement une chanson. Mais Chris a tôt fait de me faire replonger dans son monde coloré, mouvant, où la réalité n'est pas celle que je connais.
Pourtant, autours de moi, tout est bien réel. Je suis dans mon salon, entre 4 murs que je connais. Mais tout ceci est si virtuel. Le vrai est ailleurs. Pine/Cross serait-il un guide ? ou un autre monde ? C'est au Maître qu'il faut le demander. Si jamais je le croise dans ces contrées ou ailleurs, je lui demanderai. Mais même pas sûr qu'il ai une réponse…
Après le dernier Guilt Machine, cette errance m'a amené à découvrir Pine/Cross, le nouveau Masters Of Reality. Un peu comme un touriste débarquant en pleine brousse africaine alors qu'il n'a jamais quitté sa mégalopole, je me suis arrêté pour essayer de comprendre où j'avais atterri. Lors de ma descente d'avion, j'étais encore en terrain un peu connu, cet album commençant par un "King Richard TLH" bien Rock. Mais maintenant que j'ai quitté l'air climatisé de l'aéroport, j'arrive vraiment dans un autre monde. Les sons succèdent au sons. Je reconnais bien les structures typiques du Rock. Refrains – couplets – refrains. Mais même sans être un spécialiste du genre, je sens bien que Chris Goss, Maître de la Réalité des lieux, ne fait pas dans la Pop facile et radiophonique. Le psyché et l'étrange règne en maître. Les forces occultes, ou païennes, ou vaudous sont encore présentes en ces lieux.
Parfois, mais parfois seulement, le retour à la civilisation facile se fait sentir. Une petite touche 70's fait son apparition. Une disto vous évoquent un truc connu, genre Pixies ou The Breeders. J'aurais presque l'impression de reprendre pieds. Mais cela ne dure jamais longtemps. Quelques notes, un riff complet, exceptionnellement une chanson. Mais Chris a tôt fait de me faire replonger dans son monde coloré, mouvant, où la réalité n'est pas celle que je connais.
Pourtant, autours de moi, tout est bien réel. Je suis dans mon salon, entre 4 murs que je connais. Mais tout ceci est si virtuel. Le vrai est ailleurs. Pine/Cross serait-il un guide ? ou un autre monde ? C'est au Maître qu'il faut le demander. Si jamais je le croise dans ces contrées ou ailleurs, je lui demanderai. Mais même pas sûr qu'il ai une réponse…
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