C'est pas tout ça, mais nous sommes déjà début novembre et il me reste encore un post sur le Hellfest 2009 à faire. On vous avait promis que ce festival, qui a été le moment fort de notre année métallique, serait le feuilleton de l'été de Metallic Doormat. Et bien nous avons fait encore mieux : le Hellfest a été à la fois le feuilleton de l'été ET de l'automne !
Pour ce post "Hellfest, the Last One", j'ai en charge de vous parler des bourrineries que nous avons croisées en ce dernier week-end de juin à Clisson. Autant vous le dire tout de suite, les souvenirs ne sont plus très frais. Je ne serai donc pas capable de tous vous retranscrire en détails. Mais les mots qui suivent sont les vraies sensations ressenties puisque ce sont celles dont je me souviens plusieurs mois après.
Notre petit voyage à BourrineLand commence dès le premiers concert du Hellfest. Car malgré une nuite très courte et agitée, il était hors de question d'arriver tard sur le site. GOD FORBID, un des postulants à l'album de l'année, était programmé à 13h40. Nous devions être là à 13h40. Point barre. Et nous ne sommes pas les seuls à attendre les Américains, la fosse étant déjà bien garnie en ce début de festival. Et il y a peu de chance que tous ces courageux l'ai regretté, tant ce concert fut bon. Pour une entrée en matière, ce concert fut une grande réussite. Si, sur album, la musique de God Forbid peu paraître un poil complexe et ardue, sur scène, la seule chose qui prime, c'est l'énergie envoyée par le groupe. Le public l'a reçoit en pleine face, d'où une furieuse envie de se lâcher. Et les premiers circle pit d'apparaître… Rien de tel pour se mettre dans l'excellente ambiance du Week-End !
Nous nous retrouvons directement le samedi, soit le 2e jour du Hellfest. Nous avons bien sûr vu d'autre concerts le premier jour (voir tous nos précédents topics HellFest), mais rien de suffisamment bœuf pour être évoquer dans ce post. Par contre, le Samedi, c'est un tout autre programme. C'est même très chargé ! Les hostilités commencent en début d'après midi avec DAGOBA. Pour être franc, nous avons entraperçus le groupe marseillais, car encore sous le coup du concert de Grand Magus. Mais selon, Phil Demmel de Machine Head, ce concert fut très bon avec une grosse affluence et une grosse ambiance. Pour le coup, nous n'avons pas d'autres choix que de te croire, Phil !
Le concert suivant, nous y avons en partie assisté. Et je dis en partie, car nous sommes partis avant la fin. Non pas que DEVIL DRIVER soit mauvais. C'est même tout le contraire. Sur scène, cela joue sévère. Mais c'est aussi un poil trop bourrin pour nous. Cela passe très bien sur quelques morceaux. Mais ce martelage de cerveau fini par transformer nos quelques neurones en bouillie. Par forcément mauvais, mais après vingt minutes de concerts, nous préférons nous éclipser pour éviter l'overdose.
Nous n'attendions pas grand chose du groupe suivant. Je ne suis vraiment pas un amateur de Black Metal. Aussi, quand on me dit que CRADLE OF FILTH va se produire devant moi, ça me fait ni chaud, ni froid. Mais si je ne profite pas d'une participation en festival des Anglais, je ne les verrais certainement jamais. C'est pourquoi je me retrouve devant la Grande en cette fin d'après midi pour Danny et ses sbires. Et après ce concert, je dois bien admettre que j'ai passé plutôt un bon moment devant ce show. Certes, Danny chante toujours comme une casserole que l'on passe dans un mixer à pleine puissance. Mais pour le reste, le groupe est en place, le son est bon (ce qui, vu la réputation de Cradle, n'était pas gagné d'avance), et l'efficacité est bien présente malgré un horaire pas spécialement adapté à la noirceur du Black Metal. Une écoute du dernier album de Cradle m'avait amené à retrouver un peu d'intérêt pour ce groupe. Ce concert m'incite à persévérer un peu dans cette voie.
Pour ce post "Hellfest, the Last One", j'ai en charge de vous parler des bourrineries que nous avons croisées en ce dernier week-end de juin à Clisson. Autant vous le dire tout de suite, les souvenirs ne sont plus très frais. Je ne serai donc pas capable de tous vous retranscrire en détails. Mais les mots qui suivent sont les vraies sensations ressenties puisque ce sont celles dont je me souviens plusieurs mois après.
Notre petit voyage à BourrineLand commence dès le premiers concert du Hellfest. Car malgré une nuite très courte et agitée, il était hors de question d'arriver tard sur le site. GOD FORBID, un des postulants à l'album de l'année, était programmé à 13h40. Nous devions être là à 13h40. Point barre. Et nous ne sommes pas les seuls à attendre les Américains, la fosse étant déjà bien garnie en ce début de festival. Et il y a peu de chance que tous ces courageux l'ai regretté, tant ce concert fut bon. Pour une entrée en matière, ce concert fut une grande réussite. Si, sur album, la musique de God Forbid peu paraître un poil complexe et ardue, sur scène, la seule chose qui prime, c'est l'énergie envoyée par le groupe. Le public l'a reçoit en pleine face, d'où une furieuse envie de se lâcher. Et les premiers circle pit d'apparaître… Rien de tel pour se mettre dans l'excellente ambiance du Week-End !
Nous nous retrouvons directement le samedi, soit le 2e jour du Hellfest. Nous avons bien sûr vu d'autre concerts le premier jour (voir tous nos précédents topics HellFest), mais rien de suffisamment bœuf pour être évoquer dans ce post. Par contre, le Samedi, c'est un tout autre programme. C'est même très chargé ! Les hostilités commencent en début d'après midi avec DAGOBA. Pour être franc, nous avons entraperçus le groupe marseillais, car encore sous le coup du concert de Grand Magus. Mais selon, Phil Demmel de Machine Head, ce concert fut très bon avec une grosse affluence et une grosse ambiance. Pour le coup, nous n'avons pas d'autres choix que de te croire, Phil !
Le concert suivant, nous y avons en partie assisté. Et je dis en partie, car nous sommes partis avant la fin. Non pas que DEVIL DRIVER soit mauvais. C'est même tout le contraire. Sur scène, cela joue sévère. Mais c'est aussi un poil trop bourrin pour nous. Cela passe très bien sur quelques morceaux. Mais ce martelage de cerveau fini par transformer nos quelques neurones en bouillie. Par forcément mauvais, mais après vingt minutes de concerts, nous préférons nous éclipser pour éviter l'overdose.
Nous n'attendions pas grand chose du groupe suivant. Je ne suis vraiment pas un amateur de Black Metal. Aussi, quand on me dit que CRADLE OF FILTH va se produire devant moi, ça me fait ni chaud, ni froid. Mais si je ne profite pas d'une participation en festival des Anglais, je ne les verrais certainement jamais. C'est pourquoi je me retrouve devant la Grande en cette fin d'après midi pour Danny et ses sbires. Et après ce concert, je dois bien admettre que j'ai passé plutôt un bon moment devant ce show. Certes, Danny chante toujours comme une casserole que l'on passe dans un mixer à pleine puissance. Mais pour le reste, le groupe est en place, le son est bon (ce qui, vu la réputation de Cradle, n'était pas gagné d'avance), et l'efficacité est bien présente malgré un horaire pas spécialement adapté à la noirceur du Black Metal. Une écoute du dernier album de Cradle m'avait amené à retrouver un peu d'intérêt pour ce groupe. Ce concert m'incite à persévérer un peu dans cette voie.
Plus attendue pour nous fut la prestation de MOONSORROW. Avec Sgosh, nous avons longuement hésité à en parler ici ou dans le post sur le Doom et le Stoner. Car ce groupe a certes une face très Pagan Metal. Mais sa musique qui est aussi tout en ambiance louche parfois très fortement du côté glauque et cauchemardesque du Metal Sombre. Dès l'arrivée du groupe, les esprits païens s'emparent de la foule amassée sous le chapiteau de la scène Rock Hard. Les riffs s'enchaînent, la torpeur nous prend. Nous vivons en cet instant un nouvel instant de magie comme seul le Metal peut en offrir. Un douce communion entre la musique, le groupe, et le public. Le son est un poil brouillon mais cela ne gâche en rien le plaisir des spectateurs réunis, qui, encore une fois, ont répondu présent pour ce moment de grâce qui dure trop peu de temps à notre goût. Et nous voilà tout surpris de nous retrouver sous le beau soleil de plomb nantais alors que étions quelques instant auparavant perdus dans le froid de contrée lointaines…
Et le bourrin de continuer de nous remplir les esgourdes, puisque juste derrière Moonsorrow, c'est SOULFLY qui envahie la grande scène du Hellfest. Là aussi, je ne vais pas vous mentir en vous affirmant que ce concert fut énorme, fantastique et monstrueux puisque je n'ai assisté qu'à 2 ou 3 morceaux. Mais ces quelques instants nous ont confirmés que le père Max est vraiment plus en forme qu'il y a deux ou trois ans. Autre confirmation : au vue de la foule amassée devant la scène, Soulfly jouit dans nos contrées d'une cote de popularité intacte. C'est vrai qu'il est toujours bon de pogotter aussi bien sur les morceaux de Soulfly que sur quelques vieux Sepultura. Pas spécialement fin mais toujours aussi efficace.
Et c'est à GOJIRA que revient l'honneur de terminer "les bourrineries du samedi". La rédaction de Metallic Doormat (ce qui fait quand même vachement de monde) est très divisée sur ce groupe. Alors que je les trouve vraiment bons sur scène, Sgosh se fait généralement chier à tous leurs concerts. La bonne nouvelle pour Gojira, c'est que c'est moi qui suit l'auteur de ce post ! Et encore une fois, les Goj' nous ont montré tout l'étendu de leur talent pour tenir une scène. Puissants, racés, les Français se sont montrés, comme à chaque fois ou presque, impériales. Si sur album, leur musique ne me touche pas, il en est tout autrement en Live, situation dans laquelle ces musiciens transpirent la classe par tout leurs pores. Certes, en France, on pouvait se dire que tout était gagner d'avance. Mais cela n'a pas empêché de Gojira de tout donner ce soir, assumant complètement leur statut de "haut placé dans l'affiche".
Et on se retrouve le dimanche, dernier jour du Hellfest. Le menu "gros bœuf" sera composé aujourd'hui de deux plats : entrée et plat de résistance. Pour l'entrée, le chef vous propose du solide de chez solide : DESTRUCTION. ce show carré de chez carré. Les morceaux s'enchaînent aussi vite que les coups de double grosse caisse. C'est en voyant ce concert que nous réalisons que nous ne sommes pas à Wacken (alors que nous aurons eu l'impression de vivre un WOA en miniature durant tout le Week-end), car là où les Allemands auraient blindé la fosse en terre sainte allemande, la foule est plutôt clairsemée en cet après midi. Mais les fans présents sont à fond dedans. Les pogos, circle pit (monstrueux) et autres joyeusetés s'enchaînent dans un esprit bonne enfant. Que cela soit le public ou le groupe, tout les présents ont pris leur pied dans cette grand messe dédié aux Dieux du Metal.
En plat de résistance, nous vous proposons HATEBREED… Enfin, il existe une alternative… Car en cette fin de Hellfest, les bourrins avaient un dur dilemme : Hatebreed ou Amon Amarth ? Dur, dur de choisir. Comme avez déjà pu le lire par ailleurs, étant définitivement plus MetalHeadz que Coreux, nous avons laissé parler notre penchant viking. Du coup, nous n'avons pas vu une note d'Hatebreef. Mais ceux qui y étaient nous ont dit que c'était très bien.
Et voilà, avec ce post, j'ai définitivement fini de vous parler de l'édition du Hellfest 2009. Mais quelque chose me dit qu'avec des groupes comme IMMORTAL ou TWISTED SISTERS déjà annoncés pour l'édition 2010, nous n'avons pas fini d'entendre parler de ce festival sur Metallic Doormat.
Et le bourrin de continuer de nous remplir les esgourdes, puisque juste derrière Moonsorrow, c'est SOULFLY qui envahie la grande scène du Hellfest. Là aussi, je ne vais pas vous mentir en vous affirmant que ce concert fut énorme, fantastique et monstrueux puisque je n'ai assisté qu'à 2 ou 3 morceaux. Mais ces quelques instants nous ont confirmés que le père Max est vraiment plus en forme qu'il y a deux ou trois ans. Autre confirmation : au vue de la foule amassée devant la scène, Soulfly jouit dans nos contrées d'une cote de popularité intacte. C'est vrai qu'il est toujours bon de pogotter aussi bien sur les morceaux de Soulfly que sur quelques vieux Sepultura. Pas spécialement fin mais toujours aussi efficace.
Et c'est à GOJIRA que revient l'honneur de terminer "les bourrineries du samedi". La rédaction de Metallic Doormat (ce qui fait quand même vachement de monde) est très divisée sur ce groupe. Alors que je les trouve vraiment bons sur scène, Sgosh se fait généralement chier à tous leurs concerts. La bonne nouvelle pour Gojira, c'est que c'est moi qui suit l'auteur de ce post ! Et encore une fois, les Goj' nous ont montré tout l'étendu de leur talent pour tenir une scène. Puissants, racés, les Français se sont montrés, comme à chaque fois ou presque, impériales. Si sur album, leur musique ne me touche pas, il en est tout autrement en Live, situation dans laquelle ces musiciens transpirent la classe par tout leurs pores. Certes, en France, on pouvait se dire que tout était gagner d'avance. Mais cela n'a pas empêché de Gojira de tout donner ce soir, assumant complètement leur statut de "haut placé dans l'affiche".
Et on se retrouve le dimanche, dernier jour du Hellfest. Le menu "gros bœuf" sera composé aujourd'hui de deux plats : entrée et plat de résistance. Pour l'entrée, le chef vous propose du solide de chez solide : DESTRUCTION. ce show carré de chez carré. Les morceaux s'enchaînent aussi vite que les coups de double grosse caisse. C'est en voyant ce concert que nous réalisons que nous ne sommes pas à Wacken (alors que nous aurons eu l'impression de vivre un WOA en miniature durant tout le Week-end), car là où les Allemands auraient blindé la fosse en terre sainte allemande, la foule est plutôt clairsemée en cet après midi. Mais les fans présents sont à fond dedans. Les pogos, circle pit (monstrueux) et autres joyeusetés s'enchaînent dans un esprit bonne enfant. Que cela soit le public ou le groupe, tout les présents ont pris leur pied dans cette grand messe dédié aux Dieux du Metal.
En plat de résistance, nous vous proposons HATEBREED… Enfin, il existe une alternative… Car en cette fin de Hellfest, les bourrins avaient un dur dilemme : Hatebreed ou Amon Amarth ? Dur, dur de choisir. Comme avez déjà pu le lire par ailleurs, étant définitivement plus MetalHeadz que Coreux, nous avons laissé parler notre penchant viking. Du coup, nous n'avons pas vu une note d'Hatebreef. Mais ceux qui y étaient nous ont dit que c'était très bien.
Et voilà, avec ce post, j'ai définitivement fini de vous parler de l'édition du Hellfest 2009. Mais quelque chose me dit qu'avec des groupes comme IMMORTAL ou TWISTED SISTERS déjà annoncés pour l'édition 2010, nous n'avons pas fini d'entendre parler de ce festival sur Metallic Doormat.
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