Un vrai calmant, un vrai décontractant, un vrai relaxant… Voilà ce qu'il me faut ce soir. A force de courir, à force de speeder, à force de ne jamais s'arrêter, je suis sous pression. Pas encore prêt à exploser, mais un brin de détente est nécessaire. Et ce n'est pas la demi-heure que je viens de passer sur un putain d'ordi qui vont me permettre d'atteindre mon but. Encore une fois, j'ai besoin de musique.
Mais revenons un peut en arrière. Disons une petite demi-heure. Un nouveau PC à installer, voilà mon programme pour cette soirée. Et alors que j'étais dans mon bureau pour accomplir cette tâche, j'avais mis dans ma platine de salon Snowfall On Judgment Day, le nouvel album de Redemption. Ah les joies de l'informatique. J'ai déjà installé de nombreuses fois un ordi. Mais ce soir, cela ne fonctionne pas. Pourquoi, alors que tout semble installé, Windows plante-t-il au démarrage.
Toute mon attention étant focalisée sur cette putain de machine, je n'écoute pas vraiment la musique que l'on entend au loin. Les quelques bribes captées par ma conscience m'indique pourtant que toutes les solutions à mes problèmes du moment ne se trouve dans mon combat avec mon clavier et ma souris. Mais c'est que le Beatnick est têtu ! Et après une montée d'adrénaline où j'ai failli balancer l'écran par la fenêtre, le miracle fut et le système se débloqua.
Encore tout joyeux de cette victoire, je réalise que pour une fois, alors que la résistance d'une machine a le don de me foutre en rogne, je ne me suis pas trop énervé (sauf un poil à la fin). Mes nerfs, pourtant soumis à rude épreuve, ne sont pas complètement foutus en pelote. Durant cette lutte acharnée, je suis plutôt resté calme. Et Snowfall… continue de tourner dans ma chaîne. L'inconscient s'efface, le conscient reprend ses droits. Alors que depuis une demi-heure, j'écoute de la musique sans l'entendre, je comprends enfin que si je suis resté si zen, Redemption y était certainement pour quelque chose. Alors que mon esprit cartésien se concentrait sur mon problème matériel, mon esprit rêveur, celui qu'on ne contrôle pas, était déjà ailleurs, complètement absorbé par la musique. Calme, reposé, ressourcé, il avait renvoyez son bien-être à l'humain que je suis. La musique adouci les mœurs ? Aucun doute la dessus, je viens d'en vivre l'expérience.
Cette prise de conscience faite, il ne me reste qu'une chose à faire : me déplacer dans mon salon, là où se trouve la source même du son, pour pouvoir profiter pleinement de la musique. Et c'est ce que je fais actuellement, affalé dans mon fauteuil, au coin du feu… J'écoute et je suis bien.
Mais revenons un peut en arrière. Disons une petite demi-heure. Un nouveau PC à installer, voilà mon programme pour cette soirée. Et alors que j'étais dans mon bureau pour accomplir cette tâche, j'avais mis dans ma platine de salon Snowfall On Judgment Day, le nouvel album de Redemption. Ah les joies de l'informatique. J'ai déjà installé de nombreuses fois un ordi. Mais ce soir, cela ne fonctionne pas. Pourquoi, alors que tout semble installé, Windows plante-t-il au démarrage.
Toute mon attention étant focalisée sur cette putain de machine, je n'écoute pas vraiment la musique que l'on entend au loin. Les quelques bribes captées par ma conscience m'indique pourtant que toutes les solutions à mes problèmes du moment ne se trouve dans mon combat avec mon clavier et ma souris. Mais c'est que le Beatnick est têtu ! Et après une montée d'adrénaline où j'ai failli balancer l'écran par la fenêtre, le miracle fut et le système se débloqua.
Encore tout joyeux de cette victoire, je réalise que pour une fois, alors que la résistance d'une machine a le don de me foutre en rogne, je ne me suis pas trop énervé (sauf un poil à la fin). Mes nerfs, pourtant soumis à rude épreuve, ne sont pas complètement foutus en pelote. Durant cette lutte acharnée, je suis plutôt resté calme. Et Snowfall… continue de tourner dans ma chaîne. L'inconscient s'efface, le conscient reprend ses droits. Alors que depuis une demi-heure, j'écoute de la musique sans l'entendre, je comprends enfin que si je suis resté si zen, Redemption y était certainement pour quelque chose. Alors que mon esprit cartésien se concentrait sur mon problème matériel, mon esprit rêveur, celui qu'on ne contrôle pas, était déjà ailleurs, complètement absorbé par la musique. Calme, reposé, ressourcé, il avait renvoyez son bien-être à l'humain que je suis. La musique adouci les mœurs ? Aucun doute la dessus, je viens d'en vivre l'expérience.
Cette prise de conscience faite, il ne me reste qu'une chose à faire : me déplacer dans mon salon, là où se trouve la source même du son, pour pouvoir profiter pleinement de la musique. Et c'est ce que je fais actuellement, affalé dans mon fauteuil, au coin du feu… J'écoute et je suis bien.
2 commentaires:
Point 1: les Mac, c'est mieux. :)
Point 2: pour trouver Redemption calme et zen, faut soit avoir fumé un truc pas euclidien ou alors être fan de speed-death-trash hystérique.
Point 3: c'est vrai que l'album est bien.
Salut Alias
Merci d'être passé sur MD, comme quoi nous sommes lus ;)
Pour revenir au Redemption, je ne dis pas que cet album est calme, c'est juste que dans un moment légèrement speed, la musique a réussi à me calmer en m'envoyant ailleurs. Ce n'est pas la même chose car n'importe quelle musique que j'apprécie (ce qui est souvent du Metal) a un effet calmant pour moi. Si un jour tu me croises fin speed, tu peux me mettre un bon Amon Amarth dans les oreilles, après quelques bons de cabri, tu me trouveras Zen comme une fleur de Lotus.
Mais je vois qu'au final nous sommes d'accord, le CD de Redemption est vraiment bien !
Par contre, je n'ai jamais pu me mettre sur un Mac, avec ma logique de PCPhile, j'ai jamais rien compris à la marque à la pomme !
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