Belle soirée offerte en ce 10 mars à La Vapeur avec un petit package Rock’N’Roll bien sympathique.
La soirée commence vers les 20h30, comme toujours sur Dijon (il faudrait d’ailleurs penser à ceux qui se tapent de la route un jour). Les Mighty Fangs, trio local bien sympathique, ouvrent les hostilités avec un Rock Blues Soul teinté 60’s bien inspiré et assez communicatif. Ben oui, ce n’est pas toujours facile de décrire ce style de zique autrement qu’avec le qualificatif Rock ! Une mise en bouche plutôt réussie qui permet de rentrer dans l’ambiance de la soirée.
Les vétérans de The Fleshtones envahissent ensuite la scène avec leur Rock venu tout droit des 50’s. Les « papy » assurent un show auquel on accroche ou pas ! Musicalement, c’est vraiment bon, très Rock’N’Roll et très pro. Visuellement, c’est aussi Rock’N’Roll mais peut être un peu trop pro justement. Les amateurs des concerts façon « poseurs » seront servis ! Car ici, tout est bien calculé : du pied sur le retour, au volte face synchro des zicos, aux mèches très Loréal du chanteur et du gratteux. Mais passé cette sensation de « too much » on se laisse tout de même séduire par l’esprit « no prise de tête » du quartet qui semble prendre un réel plaisir sur scène. Et il faut reconnaître que ce n’est pas banal de voir un bassiste et un guitariste descendre dans le public (vive le sans fil) et faire les cons avec un chaise, faire des pompes ! En tout cas en ce qui me concerne, c’est la première fois que j’ai fait des pompes pendant un concert… et même fait des pompes tout cours ! Et oui, je me suis faite embarqué par Ken Fox, le bassiste du combo, pour l’accompagner dans sa série de pompe… Le délire ! Bref, si nous avons eu un peu de mal à rentrer dans le trip de ces vieux de la vieille, nous avons fini conquis.
Après la pause syndicale du changement de plateau, les Bellrays, très attendus, montent enfin sur scène. Les Américains se montreront fidèles à leur réputation en livrant un show pied au plancher. Entre un batteur qui cogne comme un bourrin de base sur son kit, un gratteux qui aligne les accords enragés et des soli tout en finesse comme le Rock le permet, un bassiste qui assure son rôle de base solide et un chanteuse énorme, le rendu ne peut que vous filer la patate. Il est vrai que toute la chaleur ressort de la voix de Lisa Kekaula. Seules les nana Black peuvent vous sortir des timbres de voix aussi terribles. Dès les premières notes, on chope une chair de poule qui ne vous quitte pas du concert. Alors, ajoutez à cela une zique Rock Blues un tantinet barré par moment et vous obtenez un mélange détonnant qui vous file une pêche d’enfer. Calés entre une majorité de morceaux pêchus, quelques petits ralentissement de tempo permettent de se reposer avant de repartir de plus belle. C’est donc avec une forte déception que nous laissons le groupe nous quitter après 1h25 et 2 rappels. Le premier n’ayant pas visiblement pas rassasiés la majorité des fans présents ce soir (et nous les premiers !), The Bellrays a quasi été obligé de revenir pour un dernier morceau ! Donc même si moins d’1h30 est toujours un peu frustrant pour une tête d’affiche, on se dit que le groupe a tout donné et que nous avons vécu un grand moment.
La soirée commence vers les 20h30, comme toujours sur Dijon (il faudrait d’ailleurs penser à ceux qui se tapent de la route un jour). Les Mighty Fangs, trio local bien sympathique, ouvrent les hostilités avec un Rock Blues Soul teinté 60’s bien inspiré et assez communicatif. Ben oui, ce n’est pas toujours facile de décrire ce style de zique autrement qu’avec le qualificatif Rock ! Une mise en bouche plutôt réussie qui permet de rentrer dans l’ambiance de la soirée.
Les vétérans de The Fleshtones envahissent ensuite la scène avec leur Rock venu tout droit des 50’s. Les « papy » assurent un show auquel on accroche ou pas ! Musicalement, c’est vraiment bon, très Rock’N’Roll et très pro. Visuellement, c’est aussi Rock’N’Roll mais peut être un peu trop pro justement. Les amateurs des concerts façon « poseurs » seront servis ! Car ici, tout est bien calculé : du pied sur le retour, au volte face synchro des zicos, aux mèches très Loréal du chanteur et du gratteux. Mais passé cette sensation de « too much » on se laisse tout de même séduire par l’esprit « no prise de tête » du quartet qui semble prendre un réel plaisir sur scène. Et il faut reconnaître que ce n’est pas banal de voir un bassiste et un guitariste descendre dans le public (vive le sans fil) et faire les cons avec un chaise, faire des pompes ! En tout cas en ce qui me concerne, c’est la première fois que j’ai fait des pompes pendant un concert… et même fait des pompes tout cours ! Et oui, je me suis faite embarqué par Ken Fox, le bassiste du combo, pour l’accompagner dans sa série de pompe… Le délire ! Bref, si nous avons eu un peu de mal à rentrer dans le trip de ces vieux de la vieille, nous avons fini conquis.
Après la pause syndicale du changement de plateau, les Bellrays, très attendus, montent enfin sur scène. Les Américains se montreront fidèles à leur réputation en livrant un show pied au plancher. Entre un batteur qui cogne comme un bourrin de base sur son kit, un gratteux qui aligne les accords enragés et des soli tout en finesse comme le Rock le permet, un bassiste qui assure son rôle de base solide et un chanteuse énorme, le rendu ne peut que vous filer la patate. Il est vrai que toute la chaleur ressort de la voix de Lisa Kekaula. Seules les nana Black peuvent vous sortir des timbres de voix aussi terribles. Dès les premières notes, on chope une chair de poule qui ne vous quitte pas du concert. Alors, ajoutez à cela une zique Rock Blues un tantinet barré par moment et vous obtenez un mélange détonnant qui vous file une pêche d’enfer. Calés entre une majorité de morceaux pêchus, quelques petits ralentissement de tempo permettent de se reposer avant de repartir de plus belle. C’est donc avec une forte déception que nous laissons le groupe nous quitter après 1h25 et 2 rappels. Le premier n’ayant pas visiblement pas rassasiés la majorité des fans présents ce soir (et nous les premiers !), The Bellrays a quasi été obligé de revenir pour un dernier morceau ! Donc même si moins d’1h30 est toujours un peu frustrant pour une tête d’affiche, on se dit que le groupe a tout donné et que nous avons vécu un grand moment.
Vous trouverez ci dessous quelques photos et extraits vidéo du concert desd Bellrays d’une qualité très très modeste (pour ne pas dire pourrie !), mais à notre décharge, le show light laissait pas mal à désirer. C’est bien simple, le groupe était dans le noir le plus souvent alors que les projos balayaient le devant de la scène.
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