Peut être que vous ne le savez pas, mais un concert, ça se prépare. Et comme je vous ai raconté dans mon dernier post notre concert d'Edguy à Lyon, je vais vous raconter maintenant comment nous avons préparé ce concert. Ok avec vous, ce n'est absoluement pas logique ; j'aurais du publier ce post avant le précédent. Mais si le comportement du MetalHeads était dominé par la logique, le MetalHeads tel que nous le connaissons n'existerait pas ! (un jour, je ferai un cours sur le comportement de cette espèce particulière, mais ce n'est pas le sujet du jour).
Revenons donc au sujet de ce post : la préparation d'un concert. Outre un entraînement sévère des cervicales, puis du coude, la préparation d'un tel évènement consiste avant tout à écouter le dernier skeud du groupe en boucle,. Le but est bien sûr de pouvoir beugler sur les nouvelles chansons comme s'il s'agissait déjà de grands classiques (ce qui est une hypocrisie totale puisque la plupart de ces nouvelles chansons ne se retrouveront pas dans les playlists des futures tournées).
Pour le concert d'Edguy, nous nous sommes donc tapés Tinnitus Sanctus en boucle. Il n'y avait que ça qui tournait sur platine. Je peux donc prendre le temps de vous en dire 2 mots. Si vous aviez déçus par The Rocket Ride (qui reste un putain de bon album à condition d'accepter le fait qu'Edguy n'est pas qu'un groupe Heavy allemand de base), il se pourrait bien que Tinnitus vous réconcilie avec la bande à Toby. Pas aussi puissant qu'Hellfire Club, mais beaucoup plus burné que The Rocket Ride, ce nouvel album aparaît comme un juste mix entre ces 2 albums. On retrouve la puissance du premier ("Sex, Fire, Religion") , avec les mélodies faciles du second ("The Pride Of Creation"). Edguy y ajoute même par moment le côté grandiloquant de ces compositions symphoniques plus anciennes ("Speedhoven"). Bref, un vrai petit condensé de tout ce qu'avait pu nous proposer le groupe jusqu'alors.
Nous savions depuis longtemps qu'Edguy faisait parti des grands. Avec Tinnitus, nous savons que nous étions dans le vrai.
La prochaine fois, on vous parlera de notre préparations du concert de Pain
Revenons donc au sujet de ce post : la préparation d'un concert. Outre un entraînement sévère des cervicales, puis du coude, la préparation d'un tel évènement consiste avant tout à écouter le dernier skeud du groupe en boucle,. Le but est bien sûr de pouvoir beugler sur les nouvelles chansons comme s'il s'agissait déjà de grands classiques (ce qui est une hypocrisie totale puisque la plupart de ces nouvelles chansons ne se retrouveront pas dans les playlists des futures tournées).
Pour le concert d'Edguy, nous nous sommes donc tapés Tinnitus Sanctus en boucle. Il n'y avait que ça qui tournait sur platine. Je peux donc prendre le temps de vous en dire 2 mots. Si vous aviez déçus par The Rocket Ride (qui reste un putain de bon album à condition d'accepter le fait qu'Edguy n'est pas qu'un groupe Heavy allemand de base), il se pourrait bien que Tinnitus vous réconcilie avec la bande à Toby. Pas aussi puissant qu'Hellfire Club, mais beaucoup plus burné que The Rocket Ride, ce nouvel album aparaît comme un juste mix entre ces 2 albums. On retrouve la puissance du premier ("Sex, Fire, Religion") , avec les mélodies faciles du second ("The Pride Of Creation"). Edguy y ajoute même par moment le côté grandiloquant de ces compositions symphoniques plus anciennes ("Speedhoven"). Bref, un vrai petit condensé de tout ce qu'avait pu nous proposer le groupe jusqu'alors.
Nous savions depuis longtemps qu'Edguy faisait parti des grands. Avec Tinnitus, nous savons que nous étions dans le vrai.
La prochaine fois, on vous parlera de notre préparations du concert de Pain
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