Hell Yeah !

Un paillasson, on passe dessus tous les jours, sans trop s'en aperçevoir. Pourtant, c'est la première image d'un appart, ou d'une maison. Metallic Doormat, c'est un peu le portail de nos vies de Metalheadz. Une vie dédiée à la passion des musiques à grosses guitares (ou pas !). Welcome Home... et essuyez-vous les docs avant d'entrer !

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Le mauvais Djeuns (MY PASSION – Corporate Flesh Party)

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Je dois paraître comme étant une vraie fan Neo ou autre musique de Djeuns, puisqu’à chaque fois que je vous en parle, c’est toujours en bien (cf. chronique de P.M.T, The Outburst, concert de Papa Roach), enfin pas forcément (cf. Madina Lake, Kill Hannah !). Et bien aujourd’hui, je vous prouve que je ne suis pas toujours bon public. Déjà, les premières seconde de cet album m’ont fait dire : Ah, un clone de Papa Roach. Ensuite est venu un bruit bizarre tout au long du premier titre (pas si mauvais que ça soit dit en passant). Etant en voiture, je me suis dit que les plastiques de ma Wacken Mobile de 235 000 Km commençaient à vibrer méchant. Mais après avoir tapé 3-4 fois sur le tableau de bord en vain, rassurez vous je l’ai fait en étant arrêté ! J’ai que ce « bruit » revenait à un rythme étrangement régulier… Le second morceau arrivant, ce n’était plus la même vibration… Et là, éclair : ça venait du skeud ! Le clavier, ou autre boite à son de My Passion, arrive à sortir des sons qui parasitent méchemment la musique, un peu comme dans les années 80 où les premiers synthétiseurs faisaient leur apparition. Par la suite, ils y vont un peu plus franco, ce qui fait un peu moins « bruit », mais y’a rien à faire, sur un morceau comme « Day of the Bees » ça remcommence. Là on est même dans les sons technoïdes que je déteste (tout comme l’intro du morceau qui suit : « Never Everland » ou encore « Hot in the Dolls House »). Merde, j’ai craqué. Cet album a donc, comme vous l’aurez compris franchi le fil du rasoir sur lequel les groupes de Djeuns se trouvent pour moi. Trop d’électro (de mauvais électro), de son technoïdes, de chant « rebelle » des bacs à sables. Pourtant il y aurait de quoi faire de bons morceaux avec certains riffs et même avec certaines mélodies vocales. Mais non, ces sons de Dance à 2 balles, à la Pinocchio (rappelez-vous ce hit interplanétaire des années 90, mais si vous savez : Tutatu Tata…, ah ouais, ça fait mal hein ?), ces pseudo cris de rebelle méché et cette surenchère de rythmes sautillant me filent des boutons. Bref, je ne m’attarderai pas sur Coporate Flesh Party, il n’en vaut pas la peine.

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