Quand je pense Saxon, je pense grande scène de Wacken 2003 (pour 3 titres !), Wacken 2004 et 2007. Mais quand je pense Saxon, je pense surtout à l'interview que nous avions faite avec Hard As A Rock (notre fanzine, RIP !) au printemps 2007 pour la sortie de The Inner Sanctum. Je revis cette sensation très bizarre d'être minuscule, minable, terrassée par la le Grand Biff Byford. Grand par la taille (bon, je ne suis pas une naine non plus !), par la carrière (n'est pas parmi les fers de lance de la NWOBHM qui veut), par le charisme. Je me suis fait laminée par le flegme et l'humour très British du bonhomme, pourtant hyper sympa. Mais je crois qu'il a un peu joué avec moi ce jour là ! Cette entrevue m'a toujours laissée un petit arrière goût, pas forcément désagréable, mais très particulier. Cette sensation me revient depuis à chaque fois que j'écoute un skeud de Saxon. Et pas de bol, j'avais vraiment adoré The Inner Sanctum, qui a donc logiquement beaucoup tourné dans ma platine, sur mon portable (comme réveil, l'intro de "State Of Grace" c'est génial !). En fait, ce skeud me filait, et me file toujours, une sacrée patate... Allez comprendre. Comme je suis un peu maso, j'ai voulu voir ce qu'allait me faire Into The Labyrinth... Suspens... Idem. Je veux dire, idem : il me file une sacrée patate ! Ok, à la première écoute du premier morceau, "Battalions Of Steel", je me suis dit :"Tiens, mais c'est le dernier HammerFall !". Effectivement, la ligne vocale est digne d'un Joacim Cans et la zique est très True Metal, si ce terme est encore usité de nos jours. Pour le reste, nous avons droit à de l'excellent Saxon, entre des titres foncièrement Hard Rock ("Live To Rock", "Slow Lane Blues") et d'autres, speed comme à la vieille époque ("Demon Sweeny Todd", "Valley Of The Kings", qui m'a d'ailleurs beaucoup fait pensé à "State Of Grace"). Bref, de la variété sans non plus beaucoup d'originalité, mais de la grande qualité. Au fait, si, il y a une petite surprise : la version acoustique typée Blues Sudiste de "Coming Home" (morceau de l'époque Killing Ground"). Très sympa, même si, à la première écoute, je me suis dit que la voix de Brian Johnson d'AC/DC y ferait vraiment un malheur. Enfin, bon en éteignant la chaîne, je ne peux que revivre mon calvaire de 2007. Cette fois, je sais ce que lui dirais, à Mr Byford : "Ton disque, il tue", tout simplement ! Et peut être aussi, "Tu pourrais m'aider à virer le ballet coincé dans mon c... !".
Hell Yeah !
Un paillasson, on passe dessus tous les jours, sans trop s'en aperçevoir. Pourtant, c'est la première image d'un appart, ou d'une maison. Metallic Doormat, c'est un peu le portail de nos vies de Metalheadz. Une vie dédiée à la passion des musiques à grosses guitares (ou pas !). Welcome Home... et essuyez-vous les docs avant d'entrer !
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1 commentaires:
tiens brian jonhson de Ac/Dc chante , c'est nouveau. il a fini de mimer une truie !!!!
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